Laboratoires


LABORATOIRES


ANATOMIE DU DEPART






Prochain laboratoire Anatomie du Départ :

L'échangeur - CDCN des Hauts-de-France (Château-Thierry)


12 au 24 MAI 2024

Sortie de laboratoire le 23 MAI 2024





Un Soir / Un Départ - 6 Créations


Théâtre des Clochards Célestes


- Décembre 2019 -



Les membres du collectif offense ont imaginé  une série d'expériences avec le public autours  de la création d'Anatomie du Départ.


Iels ont construit, sur la base de témoignages et de rencontres sur le terrain,  une suite de six formes uniques dédiées à six départs précis, et réparties sur six soirs. 



A chaque soir, son départ : c'est Un Soir / Un Départ.


Départ en lutte

Anatomie de l'engagement


A ouvert sur le projet

JE PARS

- Anatomie des départs en lutte -

La fin qui vient

Anatomie du vieillissement


A ouvert sur le projet

CE QU'IL RESTE

- Anatomie de la mémoire -

Hope Future

Anatomie d'un départ dans l'espace


A ouvert sur le projet

HOPE FUTURE

- Anatomie d'un départ dans l'espace -


A ouvert s


Départ de Soi





Joyeux Noël

Anatomie de la délivrance




Départ au dedans

Anatomie d'un départ au-dedans



Mixart Myrys (Toulouse)

- Mai 2019 -

A l’issue du premier laboratoire d’offense, nous avions construit une déambulation dans le lieu qui nous accueillait.


Une forme d’errance proposée au public qui commençait à la porte et finissait dans une salle de concert, entrecoupée de lectures, de moments chorégraphiques, d’une rencontre avec une machinerie plastique - nous avions construit une très grosse structure magmatique qui entre-mêlait valises, bouts de tissus et cartons, vêtements et morceaux de meubles, vestiges d’une vie, qui s’élevait vers le ciel alors que le groupe assistait au départ de l’un d’entre elleux.


L’errance se terminait par un concert pendant lequel les membres du collectif courraient en cercle sans s’arrêter,

trébuchant,

tombant,

se soutenant et criant avant de disparaître,

laissant derrière elleux un clown abandonné

et une exposition affichée sur les murs de la salle

- des plans, des fragments d’histoires, des objets, documentant le processus de travail.


La Méandre (Chalon-Sur-Saône)

- Juillet 2020 -

Le troisième nous a mené.es dehors.

Il se tenait dans un lieu ouvert sur un ancien port industriel au bord d’un fleuve.

Le parcours se faisait du dedans vers le dehors.

On assistait à une séance de visionnage de vieilles diapositives d’une personne inconnue, à un moment de danse sur corde à l’issue de laquelle se dépliait une silhouette géante et fantomatique, à un chant collectif en occitan au seuil entre dedans et dehors, les yeux dans le fleuve ;

le chant disait adieu.


Trois clowns construisaient en vain un mémorial de rue à côté d’une poubelle,

une banderole géante se dépliait sur l’une des anciennes grues du port, elle disait :

« C’EST PAS TRÈS GRAVE, JE SUIS SEULEMENT TOUTE SEULE ».


Le public passait dessous et se trouvait dans un sanctuaire de silhouettes suspendues dans les anciennes structures rouillées du port.

On se disait au revoir comme ça


TEXTES


Pour qu'il ne reste rien - Noé Reboul

          Je pars - Rudy Gardet

Le monde brûle - Magali Lévêque

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